Un couple est furieux après que leur médecin ait déclaré que leur bébé était mort et que l'avortement était suggéré; Leur fille est née en bonne santé
INTERNATIONAL CHRISTINA VAZQUEZ LE 30 JUILLET 2018 | 11h53 LONDRES, ANGLETERRE
Traducido par Kori pour Défenseurs De La Vie
S'il n'y avait pas eu une seconde analyse d'une échographie, la famille Williams aurait pu avorter leur fille en bonne santé.
Selon le Daily Mail, Susanna et Ben Williams attendaient avec joie leur deuxième enfant quand ils ont décidé de passer une échographie. Susanna avait déjà fait une fausse couche à huit semaines en 2014, alors la maman britannique voulait être sûre que son enfant allait bien.
Le service de santé national en Angleterre offre aux femmes enceintes des échographies à partir de 12 semaines de grossesse, mais le couple voulait un examen plus précoce. Le couple s'est donc rendu dans une clinique privée appelée semaines.
Selon le rapport, le Dr Ashish Sharma, échographe à la clinique, a commencé à effectuer l’analyse en se taisant sans partager d’informations avec le couple. Susanna Williams a dit qu'elle avait demandé au médecin s'il pouvait voir quelque chose, ce à quoi Sharma a répondu qu'il effectuerait une analyse interne pour mieux voir.
Après l'analyse interne, Sharma a déclaré au couple en attente que leur enfant avait cessé de grandir à six semaines et qu'il n'y avait pas de rythme cardiaque, même si Susanna était enceinte de huit semaines, a indiqué le couple.
Selon le rapport, il a continué à expliquer au couple qu’il avait subi une "fausse couche manquée" lorsque le corps de la mère ne reconnaissait pas que l’enfant était mort dans l’utérus.
Le couple a déclaré que Sharma avait suggéré qu’ils se rendent à l’hôpital voisin du NHS de Kingston pour discuter de la possibilité de laisser leur enfant à naître passer ou d’avorter D & C. Selon le rapport, la seule chose que le médecin n’a pas suggérée était une deuxième échographie pour confirmer son diagnostic sombre.
Le couple dévasté a pesé leurs options et Susanna a dit qu'elle se penchait vers un D & C. Lorsque les Williamses ont consulté l'hôpital de Kingston, ils ont dit qu'une infirmière avait conseillé à Susanna d'attendre une semaine parce que la grossesse n'était pas avancée.
En attendant, Susanna se sentait mal à l'aise de subir une procédure d'avortement, disant qu'elle n'était pas "prête à dire au revoir à la grossesse" et se sentait aussi "très enceinte".
Le lendemain, elle a subi le scan, et à sa grande surprise, l'échographiste de l'hôpital de Kingston leur a montré que leur bébé à naître était très vivant dans l'utérus, les battements de cœur et tout le reste, a déclaré le couple.
Ils étaient ravis, mais toujours prudents, et ont eu une troisième échographie à 20 semaines, où ils ont confirmé que leur enfant était vivant. Leur fille, Riley, est née saine et sauve en mai.
Malgré cette joie, les Williamses ont déclaré qu'ils se sentaient furieux que Sharma leur ait donné des informations totalement inexactes sur leur enfant. Ils ont dit qu'ils avaient appelé le médecin pour lui annoncer la nouvelle de leur enfant en bonne santé, et il a félicité, mais ne s'est pas excusé pour sa grave erreur.
La clinique, Windows to the Womb, a «sincèrement présenté ses excuses» au couple. Un porte-parole de la clinique a également noté qu’ils examinaient plus de 100 000 femmes enceintes par an et que l’expérience des Williamses était "un incident isolé". La clinique a récemment introduit davantage de formations pour ses employés.
"Chaque fois que je regarde Riley," dit Susanna, "je ne peux pas m'empêcher de penser à quel point elle n'aurait peut-être pas réussi ...
On aurait pu se débarrasser d'elle. Et je crains que d'autres couples aient avorté des bébés en bonne santé après avoir reçu des informations erronées dans des cliniques privées de dépistage. "
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